Inhumation ou crémation ?

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Inhumation ou crémation ?

La question se pose dans le cadre d'un contrat de prévoyance obsèques, mais peut-être aurez-vous un jour à faire ce choix pour un(e) autre que vous... Dans les deux cas, cette décision importante mérite réflexion et accompagnement. 

Un choix très personnel

Votre corps vous appartient, ce qui vous donne le droit de décider ce qu'il en adviendra, même après votre décès. Que vous imaginiez rejoindre le caveau familial ou que vous songiez à une cérémonie de dispersion des cendres en pleine mer... le champ du possible est vaste.

A condition, cependant, de consigner vos souhaits. Dans le cadre d'un contrat obsèques PFG, vous pouvez déposer vos Volontés Essentielles : inhumation ou crémation, cérémonie civile ou religieuse, destination des cendres. Elles seront confiées à l’Association Colombe en charge de veiller au respect de leur mise en œuvre.

Et inscrire ses souhaits dans un testament ?

Ce n'est pas recommandé, car ce dernier est souvent ouvert par le notaire bien après le moment auquel le choix doit être fait. Préférez un autre type de document, plus accessible ou conservé par des personnes de confiance.

Les bonnes questions à se poser 

Les traditions familiales, le type de cérémonie souhaitée, votre penchant personnel... tous ces aspects sont importants ! Mais, dans le fond, le lieu de recueillement reste le principal critère différenciant entre la crémation et l'inhumation. Les proches qui demeurent ont parfois à cœur de pouvoir fleurir une sépulture, d'autres seront heureux d'une promenade en pleine nature. Penser à la façon dont votre famille voudra entretenir votre souvenir - dans un espace ouvert ou délimité (tombe, crématorium, jardin du souvenir...) - cela aussi est essentiel. Découvrez nos contrats d'assurance obsèques.

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Ce que les religions autorisent... ou pas 

Une cérémonie laïque est possible dans tous les cas. En revanche, concernant le mode de sépulture, les différents cultes n'ont pas les mêmes positions. Selon votre confession, vous n'aurez donc pas les mêmes choix. La religion protestante ne s'est pas opposée à la loi de 1887 autorisant la crémation en France, et l'Eglise catholique ne l'interdit plus depuis 1963. Plus attachées à l'intégrité du corps, les religions juive et musulmane n'admettent pas la crémation, alors que les bouddhistes et hindouistes encouragent ce rite qui libère l'âme du corps selon leurs préceptes.

Et si vous deviez organiser les obsèques d'un proche ?

Interrogez-vous sur ses croyances, rappelez-vous ses prises de position, pensez à ce qu'il aurait souhaité... le conseiller funéraire PFG, formé pour vous accompagner, pourra vous expliquer les implications de vos choix.

Le cadre législatif à respecter

Si le défunt a exprimé un choix de son vivant, celui-ci doit être respecté. En l’absence de décision connue, les proches auront le dernier mot et s'ils ne s'accordent pas entre eux : le tribunal judiciaire tranchera. Dans tous les cas (sauf disparition à l'étranger ou intervention de l'institut médico-légal entre autres), l'inhumation ou la crémation auront lieu au plus tôt 24 heures et au plus tard 14 jours ouvrés après le décès.

Et si vous souhaitez donner votre corps à la science ?

Dans la plupart des cas, il ne sera pas restitué. Il fera l'objet d'une crémation organisée par le centre de don. Généralement, les cendres sont ensuite dispersées dans un espace commun, mais bien identifié, où les proches peuvent se recueillir.

Vous accompagner, c'est aussi répondre à vos questions

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Comprendre les démarches à suivre, s’orienter dans les choix à faire… Vous pouvez anticiper ces questions grâce à nos guides conseils, dès que vous le souhaitez.

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